Par Sandrine Pantel
Cela fait maintenant plusieurs jours que je suis de retour d’Islande et j’ai encore beaucoup de mal à réaliser l’expérience incroyable que j’y ai vécue.
Je n’aurais jamais osé imaginer un jour que je passerais plusieurs semaines en tant que bénévole sur le pont d’un bateau pour observer les cétacés au large de l’Islande !
Je n’aurais jamais osé imaginer un jour que je passerais plusieurs semaines en tant que bénévole sur le pont d’un bateau pour observer les cétacés au large de l’Islande !
Maintenant que je suis rentrée, ce sont les orques qui me manquent le plus.
Les voir apparaître au loin, entendre leurs souffles lorsqu’elles plongent sous l’eau tout autour de nous, voir la tête adorable des petits sortir hors de l’eau et bondir à côté de leur mère ou d’un autre petit veau… Tout ce qui rend une rencontre avec les orques magique me manque. Il suffit de les rencontrer et le temps semble alors s’arrêter, la fascination étant la plus forte tandis que ces magnifiques êtres noirs et blancs vous laissent partager un moment de leur vie de famille, semblant même se réjouir de votre présence en s’approchant si près du bateau qu’il est alors possible de les voir nager sous la surface et émerger tout près de vous, si près, sous vos yeux émerveillés.
Les voir apparaître au loin, entendre leurs souffles lorsqu’elles plongent sous l’eau tout autour de nous, voir la tête adorable des petits sortir hors de l’eau et bondir à côté de leur mère ou d’un autre petit veau… Tout ce qui rend une rencontre avec les orques magique me manque. Il suffit de les rencontrer et le temps semble alors s’arrêter, la fascination étant la plus forte tandis que ces magnifiques êtres noirs et blancs vous laissent partager un moment de leur vie de famille, semblant même se réjouir de votre présence en s’approchant si près du bateau qu’il est alors possible de les voir nager sous la surface et émerger tout près de vous, si près, sous vos yeux émerveillés.
Au cours de ces trois semaines, ma fascination pour les orques n’a fait que croître.
Ces êtres sont fascinants, car ils semblent incarner et refléter la meilleure version de nous-mêmes, en tant qu’êtres humains : super prédateurs de la mer, ils s’adaptent cependant à leur environnement sans le détruire, ils sont intimement connectés les uns aux autres et restent soudés, les liens qui les unissent sont extrêmement étroits et ils vivent tous ensemble en harmonie.
Leur intelligence nous échappe encore et être parmi eux est à la fois merveilleux et apaisant pour le cœur et l’âme. C’est un moment magique, donnant la sensation d’une véritable connexion à la nature et nous permettant d’entr’apercevoir ce à quoi pourraient ressembler nos sociétés humaines si nous partagions leur niveau de conscience. Dotés d’une grande sagesse, ils suivent la matriarche du groupe et font tout pour protéger l’ensemble du groupe, ne laissant aucun membre du pod derrière eux.
Ces êtres sont fascinants, car ils semblent incarner et refléter la meilleure version de nous-mêmes, en tant qu’êtres humains : super prédateurs de la mer, ils s’adaptent cependant à leur environnement sans le détruire, ils sont intimement connectés les uns aux autres et restent soudés, les liens qui les unissent sont extrêmement étroits et ils vivent tous ensemble en harmonie.
Leur intelligence nous échappe encore et être parmi eux est à la fois merveilleux et apaisant pour le cœur et l’âme. C’est un moment magique, donnant la sensation d’une véritable connexion à la nature et nous permettant d’entr’apercevoir ce à quoi pourraient ressembler nos sociétés humaines si nous partagions leur niveau de conscience. Dotés d’une grande sagesse, ils suivent la matriarche du groupe et font tout pour protéger l’ensemble du groupe, ne laissant aucun membre du pod derrière eux.
Les orques sont des animaux magnifiques et intelligents qui doivent être protégés comme tous les autres animaux marins.
La situation des orques résidentes du Sud au Canada, notamment, est extrêmement préoccupante : ces dernières y meurent de faim en raison d’un manque dramatique de saumons.
Les orques sont malheureusement également contaminées par la pollution des eaux et sont particulièrement menacées, ainsi que leur progéniture, par les substances nocives que sont les polychlorobiphényles (PCB).
Agir concrètement pour les protéger implique de réduire au maximum sa consommation de plastique, de recycler autant que possible, de réduire sa consommation de poisson et d’éviter d’utiliser des produits de la vie quotidienne contenant des substances toxiques susceptibles de finir dans les océans (produits d’hygiène, nettoyants ménagers, etc.).
Mon amour des orques et mes aventures auprès d’elles ne font que commencer !
Ce fut un privilège que d’agir concrètement pour leur protection et je n’hésiterai pas une seule seconde à repartir pour elles, car je n’imaginerais plus vivre dans un monde… sans les orques.
Photo 1 : Une orque femelle d’Islande
Photo 2 : Une famille d’orques devant des paysages fabuleux
Photo 3 : Des oiseaux à l’affût tandis que les orques chassent les harengs
Photo 4 : Vue spectaculaire d’un pod d’orques
Photo 5 : Des orques au repos, nageant les unes près des autres
Crédit photos : ©Sandrine Pantel
Traduction : Sandrine Pantel pour C’est assez !