C'est assez

Une autre orque résidente du sud est présumée morte

Par Lynda V. Mapes – 28 janvier 2020 

Selon le Centre For Whale Research, Mega (L41) n’a pas été vu lors d’une rencontre avec le pod L le vendredi 24 janvier dernier.

Mega est né en 1977, et en raison de son âge et du fait qu’il est été observé très amaigri et en mauvaise santé en janvier 2019, les scientifiques du Center for Whale Research craignent le pire, et il sera considéré comme décédé si il n’est pas vu lors d’une future observation.

Mega (L41) – Crédit photo : ©MarkMalleson / iStock / Getty Images
Si le décès de Mega est confirmé, cela porterait la population des orques résidentes du sud à seulement 72 individus, le second recensement le plus faible de cette population depuis que le centre en a commencé le recensement il y a 45 ans. 

En 1976, après l‘ère des captures pour les parcs marins, il ne restait que 71 individus au sein des orques résidentes du sud alors qu’un tiers de cette population a été capturée pour être vendues à des aquariums du monde entier.
 
Capture d’orques résidentes à Penn Cove – 1970
Les orques luttent pour leur survie. Elles font face à 3 principales menaces qui pèsent sur la population des orques résidentes du sud sont la diminution leurs proies, et tout particulièrement le saumon quinnat, les contaminants environnementaux et les perturbations acoustiques et physiques causées par les bateaux.

Mega était une orques mâle d’une grande importance pour les résidentes du sud. Avec une autre orque mâle, Ruffles (J1), décédé en 2011, ils ont engendré la plupart des bébés nés au sein des pods J, K et L depuis 1990. Mega est à lui seul  le géniteur de 14 petits.
Crédit photo : ©James Mead Maya 

Les orques luttent pour leur survie. Elles font face à 3 principales menaces qui pèsent sur la population des orques résidentes du sud sont la diminution leurs proies, et tout particulièrement le saumon quinnat, les contaminants environnementaux et les perturbations acoustiques et physiques causées par les bateaux.
Traduction : C’est assez ! 

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